Pommier Jolibois

Pommier Jolibois, une pomme ancienne et parfumée, idéale pour les amateurs de saveurs authentiques. 🍏

🍂 Récolte d’automne : Fructification en octobre, conservation jusqu’en janvier.
🍏 Goût délicieux : Pomme à chair blanche, croquante, sucrée et très parfumée.
❄️ Rusticité : Pommier très rustique, adapté à la culture en altitude, résistant aux maladies.

Les plants proposés à la vente sont des scions mesurant de 90 cm à 1,5m. En racines nues, ils sont disponible de novembre à mars uniquement.

Description

Pommier Jolibois – Une petite pomme rustique au goût sucré et parfumé

Le pommier Jolibois est une variété ancienne originaire de Gurgy-sur-Yonne, en France, apparue en 1907. Cette pomme se distingue par sa petite taille, sa peau rougeâtre et sa chair blanche, juteuse, croquante et parfumée. Très rustique, le pommier Jolibois s’adapte parfaitement à la culture en altitude et offre une bonne résistance aux maladies, notamment à la tavelure. Son fruit, sucré et très parfumé, est récolté tout au long du mois d’octobre. Grâce à sa bonne aptitude à la conservation, la pomme Jolibois peut être appréciée pendant une longue période après la récolte.

Caractéristiques du fruit Jolibois

La pomme Jolibois est reconnaissable à son petit calibre et à sa forme cylindrique légèrement aplatie. Son épiderme, de couleur jaune paille, est lavé de rouge sur la face exposée au soleil, avec des stries de rouge plus foncé. Cette robe colorée et rustique cache une chair blanche, juteuse, croquante et particulièrement sucrée. Son parfum fruité en fait un fruit très apprécié en bouche.

Caractéristiques détaillées :

Taille : Petite, calibre réduit
Forme : Cylindrique légèrement aplatie
Couleur : Jaune paille lavé de rouge à l’insolation, avec des stries rouge foncé
Texture de la peau : Lisse à légèrement rugueuse
Chair : Blanche, croquante, juteuse et sucrée
Goût : Très sucré et parfumé, saveur fruitée et agréable au palais
Arômes : Parfum fruité prononcé

Utilisations recommandées pour Jolibois

La pomme Jolibois est idéale à croquer en raison de sa chair croquante, sucrée et parfumée. Son goût naturel et fruité ravira les amateurs de pommes fraîches. Elle peut aussi être utilisée en cuisine, notamment dans les compotes ou les desserts. Sa texture croquante et juteuse se prête bien à la confection de salades de fruits et de pâtisseries. De plus, sa bonne conservation permet de la consommer sur une longue période après la récolte, ce qui en fait une variété très intéressante pour les vergers familiaux.

Utilisations principales :

À croquer : Délicieuse en fruit frais, sucrée et croquante
En cuisine : Parfaite pour les compotes, les desserts et les salades de fruits
Conservation : Excellente aptitude à la conservation naturelle

Pollinisation et fructification

Le pommier Jolibois est un arbre rustique et vigoureux, capable de produire des fruits même dans des conditions de culture difficiles. Sa floraison survient au printemps, et il fructifie tout au long du mois d’octobre. Cette fructification de type « demi-tardive » garantit une récolte prolongée. De plus, le pommier Jolibois est peu sensible aux maladies, en particulier à la tavelure, ce qui en fait un choix idéal pour les jardins familiaux et les vergers de montagne.

Détails sur la fructification et la pollinisation :

Fructification : De type demi-tardive, tout au long du mois d’octobre
Floraison : Printemps, floraison abondante
Pollinisation : Nécessite la présence d’autres pommiers à proximité pour favoriser la production de fruits, comme reine des reinettes
Sensibilité aux maladies : Bonne résistance naturelle, peu sensible à la tavelure

Divers

Origine : Gurgy-sur-Yonne, France (1907)
Rusticité : Très rustique, adaptée à la culture en altitude
Résistance aux maladies : Bonne, peu sensible à la tavelure
Utilisations : À croquer, en compotes et en desserts
Période de récolte : Octobre (fructification demi-tardive)
Période de consommation : Longue conservation naturelle grâce à sa robustesse

Informations complémentaires

porte-greffe	Franc bittenfelder : pour des pommiers robustes et grands (6 m), à croissance lente mais offrant une longue durée de vie., M111 : adapté aux sols difficiles, ce porte-greffe vigoureux donne des arbres de 4 à 5 m, M26 : idéal pour un petit pommier (3 m max), à mise à fruits rapide et adapté aux petits jardins.
altitude	Moins de 800 m d'altitude, Plus de 800 m d'altitude
utilisation	A croquer, A jus, Polyvalent, Transformation
variete	Ancienne
conservation	Oui
calibre	Moyen
autofertile	Non

Production locale en Agriculture Biologique

Variétés adaptés à l’altitude, résistantes aux maladies et à la sécheresse.

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En tant que pépiniériste bio, je sélectionne des variétés résistantes aux maladies et aux nuisibles. Que ce soit pour des variétés anciennes ou plus récentes, mes arbres, dont Pommier Jolibois, sont choisis pour leur rusticité et leur capacité à s’adapter à des conditions de culture sans nécessiter de traitements chimiques.

De nombreux arbres fruitiers, lorsqu’ils sont cultivés dans des conditions optimales et avec des pratiques agricoles respectueuses de l’environnement, peuvent se défendre naturellement contre les maladies courantes. En optant pour des variétés rustiques et adaptées à votre environnement, il est souvent possible d’éviter les traitements chimiques. De plus, en respectant les distances de plantation adaptées et en garantissant une bonne aération des arbres, vous réduisez les risques de maladies et d’infestations.

En effet, des arbres plantés trop rapprochés peuvent créer un environnement propice à l’humidité stagnante et à la propagation des maladies fongiques, ce qui augmenterait la nécessité de traitements. Il est donc essentiel de veiller à un bon espacement entre les arbres pour assurer une circulation d’air optimale, ce qui les rend moins vulnérables aux maladies.

En cultivant dans le respect de l’écosystème, en choisissant des variétés résistantes et adaptées comme Pommier Jolibois, et en suivant des pratiques de plantation appropriées, vous pouvez limiter l’usage de traitements chimiques et favoriser une approche plus naturelle de la culture des arbres. Non seulement cela améliore la santé des plantes, mais cela contribue également à un environnement plus sain et à une meilleure qualité des fruits récoltés.

Il est peu probable de récolter des fruits dès la première année, même si vous achetez un arbre déjà formé. Bien qu’il soit tentant d’attendre une récolte rapide, il est en réalité déconseillé de laisser un arbre produire des fruits dès sa première année de plantation. La première année après la plantation est Pommier Jolibois cruciale pour le développement de l’arbre, et il est préférable qu’il se concentre sur l’établissement d’un système racinaire solide plutôt que sur la production de fruits.

Les racines sont essentielles à la survie et à la croissance de l’arbre. En prenant le temps de s’installer correctement dans le sol, l’arbre pourra absorber les nutriments et l’eau nécessaires à sa croissance future, ce qui lui permettra de produire des fruits de manière plus saine et abondante dans les années suivantes. Si un arbre est encouragé à produire des fruits dès sa première année, cela peut nuire à son développement et affaiblir sa structure. En effet, la production précoce de fruits peut entraîner un épuisement des ressources de l’arbre et ralentir sa croissance globale.

D’autre part, un Pommier Jolibois scion (un jeune arbre d’un an) aura plus de facilité à s’adapter à son nouveau terrain qu’un arbre plus âgé. En effet, les scions sont moins stressés par le transplant et peuvent plus rapidement développer leurs racines, car ils sont encore en phase de croissance active. Cela leur permet d’établir un bon système racinaire et de se préparer pour les saisons suivantes. Comparé à un arbre plus âgé ou à un arbre en pot, un scion aura donc généralement une meilleure reprise et une croissance plus rapide, même si la fructification prendra encore quelques années.

En résumé, il est préférable de privilégier la croissance des racines pendant la première année et de laisser l’arbre se développer avant de penser à la récolte. Cela garantira une meilleure santé de l’arbre et des récoltes plus abondantes dans les années suivantes.

Les arbres sont cultivés à 850 mètres d’altitude et doivent être capables de supporter des conditions climatiques parfois extrêmes, notamment des températures basses, y compris en hiver. C’est pourquoi tous les arbres que je propose sont sélectionnés pour leur résistance au gel, comme c’est le cas pour Pommier Jolibois. Ces arbres, régulièrement confrontés au froid, sont parfaitement adaptés pour résister aux hivers rigoureux tout en assurant une croissance saine.

Cependant, pour obtenir des fruits dans des zones situées à plus de 800 mètres d’altitude, il est crucial de choisir des variétés adaptées. Certaines espèces d’arbres fruitiers, comme les pêchers et les nectarines, sont particulièrement sensibles au gel, notamment pendant la floraison, lorsque les températures printanières peuvent être très variables. Il est donc essentiel de sélectionner des variétés robustes, spécialement conçues pour résister au froid et aux conditions de culture élevées.

Les pêchers sont généralement sensibles au gel, surtout pendant la floraison. Cependant, certaines variétés, telles que le pêcher ‘Nectarine Felligni‘, sont particulièrement adaptées aux climats froids et résistent bien aux gelées tardives, tout en produisant des pêches savoureuses. La nectarine ‘Charles Roux‘ est également résistante au froid et convient bien aux altitudes élevées, offrant des nectarines de qualité.

En ce qui concerne les abricotiers, une sélection rigoureuse est nécessaire, car ces arbres sont sensibles aux gelées tardives. Toutefois, des variétés adaptées, comme le ‘Triomphe du Nord’, sont disponibles pour ces conditions.

Les pommiers, en revanche, sont particulièrement adaptés aux régions froides et peuvent supporter des températures hivernales sévères. Le pommier ‘Gravenstein‘, par exemple, est très rustique et capable de supporter le froid tout en offrant une production abondante de pommes. Le pommier ‘Reinette Clochard‘, lui aussi adapté aux zones froides, supporte bien le gel et produit des pommes acidulées de qualité.

Les poiriers, tout comme les pommiers, sont bien adaptés aux climats froids et peuvent résister à des conditions hivernales rigoureuses. Le poirier ‘Williams‘ est généralement robuste, bien qu’il soit sensible aux gelées sévères pendant la floraison, et s’adapte bien aux climats frais. Le poirier ‘Conférence‘ est une variété très rustique, capable de supporter les températures froides tout en produisant des poires de qualité.

Les pruniers sont également assez résistants au gel, mais certaines variétés, comme le prunier ‘Reine-Claude d’Althan‘, sont plus adaptées aux conditions froides, offrant de délicieuses prunes malgré les hivers rigoureux. Le prunier ‘Mirabelle de Nancy‘, quant à lui, est bien adapté aux climats froids et prospère dans des régions élevées.

Quant aux cerisiers, bien qu’ils soient sensibles au gel, certaines variétés rustiques comme le cerisier ‘Montmorency‘ supportent bien le froid. Ce cerisier, idéal pour les altitudes élevées, produit des cerises acidulées.

En résumé, pour les altitudes supérieures à 800 mètres, il est impératif de choisir des variétés résistantes au gel pour garantir une récolte de qualité. Avec des arbres adaptés, il est possible de bénéficier d’une production fruitière abondante, même dans des conditions climatiques difficiles.

Pour prendre soin de votre Pommier Jolibois, l’espacement entre les arbres est crucial pour leur croissance saine et leur production optimale. Le respect des distances de plantation permet à chaque arbre de développer son système racinaire et de recevoir suffisamment de lumière, d’air et de nutriments. La distance dépend de plusieurs facteurs, notamment de la variété de l’arbre, de la taille adulte de l’arbre, et des caractéristiques du sol.

Pêchers, Nectarines et Abricotiers

Ces arbres ont un système racinaire assez étendu, ce qui signifie qu’il est nécessaire de leur laisser suffisamment d’espace pour croître librement.

– Espacement recommandé : entre 3,5 et 4,5 mètres. Cette distance permet à chaque arbre de se développer sans que ses racines ne se chevauchent, ce qui peut nuire à la santé de l’arbre et à sa production de fruits.

Pommiers et Poiriers

Les pommiers et poiriers, en particulier les variétés standard, ont tendance à avoir un port plus large et un système racinaire plus profond.

– Espacement recommandé : entre 4 et 5 mètres pour les variétés standards. Cela permet une bonne aération entre les arbres et évite la concurrence pour les nutriments et l’humidité.

– Pour les variétés naines, un espacement de 2,5 à 3 mètres est souvent suffisant.

Pruniers et Cerisiers

Les pruniers et cerisiers ont aussi des racines étendues, mais leur taille varie en fonction de la variété. Certaines variétés naines ou semi-naines demandent moins d’espace.

– Espacement recommandé : entre 3,5 et 4,5 mètres pour les variétés standard et entre 2,5 et 3 mètres pour les variétés naines.

– Les cerisiers peuvent avoir un port assez large et nécessitent un plus grand espace pour éviter la compétition entre les arbres.

Facteurs influençant l’espacement :

Le porte-greffe : Les arbres greffés sur des porte-greffes nains ou semi-nains demandent généralement moins d’espace, car leur croissance est plus contenue. Par contre, les arbres sur des porte-greffes standards (ou non greffés) ont un port plus large et un système racinaire plus profond, nécessitant un espacement plus grand.
Le sol : Si votre sol est riche et bien drainé, vous pouvez potentiellement planter les arbres plus près les uns des autres, car ils auront suffisamment de nutriments pour se développer. Dans des sols plus pauvres ou plus compacts, un espacement plus large est conseillé.
Le climat : Dans les zones à fortes précipitations ou à humidité élevée, il est important de laisser un espacement suffisant pour assurer une bonne circulation de l’air, ce qui peut réduire les risques de maladies fongiques.

Conseils supplémentaires :

– Taille et entretien : Si vous planifiez de tailler les arbres pour maintenir une forme plus compacte (ce qui est souvent recommandé pour les arbres fruitiers en zone de culture intensive), vous pourriez éventuellement réduire l’espacement.

En résumé, il est crucial de respecter ces distances pour permettre à vos arbres de se développer dans de bonnes conditions et d’optimiser leur production. Le respect des distances de plantation garantit aussi une bonne aération, une bonne exposition au soleil et minimise la concurrence pour les ressources essentielles.

Les soins apportés à votre Pommier Jolibois pendant sa première année sont essentiels pour lui permettre de s’établir correctement, développer un système racinaire solide et résister aux conditions extérieures. Voici les principaux soins spécifiques à apporter à un arbre dans sa première année :

1. Arrosage régulier

L’arrosage est un des aspects les plus cruciaux lors de la première année de plantation. Les jeunes arbres ont besoin d’un apport d’eau constant pour favoriser l’enracinement.

– Fréquence : Il faut arroser régulièrement, surtout durant les périodes sèches ou de chaleur. Les jeunes arbres ont besoin d’eau pour développer leur système racinaire.

– Méthode : Arrosez lentement au pied de l’arbre pour éviter que l’eau ne s’évapore trop rapidement. L’idéal est un arrosage en profondeur pour que l’eau pénètre bien dans le sol et atteigne les racines profondes.

– Attention : Veillez à ne pas trop arroser, car un excès d’humidité peut entraîner la pourriture des racines. Le sol doit être humide, mais pas détrempé.

2. Protection contre les mauvaises herbes

Les mauvaises herbes sont en concurrence avec l’arbre pour les nutriments, l’eau et la lumière. Durant la première année, il est important de garder la zone autour de votre Pommier Jolibois dégagée.

– Méthode : Utilisez un paillage (écorce, paille, copeaux de bois) autour du tronc pour limiter la croissance des mauvaises herbes. Le paillage aide également à maintenir l’humidité du sol et à prévenir l’évaporation de l’eau.

– Désherbage manuel : Si nécessaire, désherbez autour du jeune arbre pour éviter que les racines des mauvaises herbes ne nuisent à celles de l’arbre.

3. Fertilisation

Pendant sa première année, un arbre ne nécessite généralement pas une fertilisation excessive, mais une petite quantité d’engrais organique peut l’aider à bien démarrer.

– Type d’engrais : Utilisez un engrais organique riche en éléments nutritifs comme l’azote, le phosphore et le potassium pour stimuler la croissance. Vous pouvez aussi opter pour du compost ou du fumier bien décomposé.

– Timing : Appliquez l’engrais au printemps, juste avant que l’arbre ne commence à croître activement, et éventuellement une autre fois à la fin de l’été. Cela aidera l’arbre à développer un bon système racinaire.

4. Surveillance des nuisibles

Bien que les jeunes arbres aient un système de défense naturel, ils peuvent être vulnérables aux attaques de nuisibles comme les insectes ou les rongeurs.

– Insectes : Gardez un œil sur les attaques de pucerons, vers ou autres insectes qui peuvent endommager les jeunes feuilles ou les racines. Si vous remarquez des infestations, vous pouvez utiliser des solutions biologiques comme le savon noir ou des huiles essentielles.

– Rongeurs : Les jeunes arbres peuvent être endommagés par des rongeurs qui mangent l’écorce ou les racines. Vous pouvez protéger le tronc avec une protection en plastique ou un cercle de protection autour du tronc.

5. Taille et entretien

La taille est essentielle pour encourager une bonne forme de l’arbre et éliminer les branches mortes ou malades. Cependant, pendant la première année, il faut éviter de tailler excessivement.

– Taille formative : Si nécessaire, effectuez une taille légère pour guider la croissance de l’arbre dans une forme correcte, mais ne coupez pas trop de branches pendant la première année. L’objectif est que l’arbre se concentre sur la formation de ses racines.

– Retrait des branches mortes ou faibles : Retirez les branches qui semblent malades ou abîmées pour éviter que des infections ne se propagent.

6. Protection contre le gel et le froid

Si vous êtes dans une région où les hivers sont rigoureux, il est important de protéger l’arbre des gels en fin de saison. Les jeunes arbres sont particulièrement vulnérables.

– Protection du tronc : Enroulez le tronc de l’arbre avec un protecteur de tronc ou un film spécial antigel. Cela aidera à prévenir les blessures dues au gel.

– Paillage d’hiver : Couvrez également la base de l’arbre avec un paillage épais pour protéger les racines du froid.

Conclusion

Les soins durant la première année de votre Pommier Jolibois sont essentiels pour garantir sa bonne installation. Un arrosage régulier, une protection contre les mauvaises herbes, une fertilisation modérée, et une surveillance des nuisibles et du gel contribueront à une croissance optimale. L’objectif principal de cette première année est de renforcer l’arbre afin qu’il puisse mieux résister aux conditions climatiques et produire des fruits de manière pérenne dans les années à venir.